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Liens sociaux / Etat

 

 

Les liens sociaux peut etre penser par l'echange car les mécanismes permet d’accorder les hommes entre eux et de maintenir la cohésion de la société peut être pensée de multiples manières, à des niveaux complètement différents. On peut penser que ce mécanisme est fondamentalement économique, politique, libidinal, religieux, rationnel, etc..Ce mécanisme peut se porter aux demain car la science peut arriver a une limite qu les questionnement de peuvent être que fondamentalement économique, politique, libidinal, religieux, rationnel,technologie,

 

 

La satisfaction des besoins individuels par la division du travail et l’échange est le fondement de la société.

 

La forme de la «solidarité organique».

 

L’idée de «main invisible»: si les individus poursuivent leurs intérêts privés, le plus grand bien général en résultera car une main invisible les guide vers les actions les plus profitables à la collectivité: «l’individu est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions». Dans ces concepts scientifiques , c’est l’intérêt qui assure le lien social et la cohésion entre les individus.

 

 

Le lien social à partir des sentiments, des affects, des passions

 

 

l’idée selon laquelle la passion est une «ruse de la raison» qui pousse les hommes à réaliser de grandes choses dont ils n’ont pas nécessairement conscience, et qui concourent à l’avènement d’un ordre rationnel et donc au bien de tous. Par exemple, à travers sont désir personnel de gloire,etc,,,

 

 

L’échange ne suffit pas à assurer le lien social, il faut ajouter aux lien par l’intérêt un lien d’ordre affectif:

L’intérêt de la communauté de travail n’assurerait pas la cohésion [de la société], les passions pulsionnelles sont plus fortes que les intérêts rationnels.


 

La culture mette tout en œuvre pour assigner des limites aux pulsions d’agression des hommes, pour tenir en mission leurs manifestations par des formations réactionnelles psychiques. De là donc la mise en œuvre de méthodes qui doivent inciter les hommes à des identifications et à des relations d’amour inhibées quant au but, de là la restriction de la vie sexuelle et de là aussi ce commandement de l’idéal: aimer le prochain comme soi-même, qui se justifie effectivement par le fait que rien d’autre ne va autant à contre-courant de la nature humaine originelle.

Les liens entres les hommes sont essentiellement libidinaux, et il faut l’intériorisation des exigences sociales dans le psychisme avec l’érection du surmoi pour que la concorde et la paix puisse être assurée entre les individus. Et c’est par amour des autres – ou plus exactement par angoisse devant la perte d’amour – que les hommes respectent les préceptes moraux et les lois.

 

 

 

 

 

l existe un sentiment propre à chaque régime politique. Il appelle « principe Â» ce sentiment qui doit animer les hommes pour que le régime en question fonctionne correctement. Le principe de la république (qu’elle soit démocratique ou aristocratique) est la vertu. Le principe de la monarchie est l’honneur.

 

Le principe de la tyrannie est la crainte.

 

 

On peut distingue deux grands affects par lesquels les hommes obéissent : la crainte et l’espoir. Puisqu’il vaut mieux être mû par un affect de joie que par une passion triste,

 

L’espoir que par la crainte. L’idéal est qu’ils soient mus par leur raison elle-même, qui leur commande naturellement de rechercher l’utile propre dans l’association politique.

 


 


 

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