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Absolu

 

 

l’être-l’un-avec-l’autre se meut dans un parler-l’un-avec-l’autre et une préoccupation . Ce qui importe, c’est l'écris. 

 

A guise d’une appropriation originaire de cet étant, mais sur le monde de la relation et de la re-dire. Le parler comme tel s’étend à des cercles plus larges, et il revêt un caractère d’autorité. La chose est ainsi, parce qu’on le dit. Dans cette re-dite et cette relation où le défaut de solidité ,du parler,  une complète absence de sol, se constitue le bavardage politique initule . D’ailleurs, il ne demeure pas restreint à la re-dite orale, mais il se diffuse dans l’écrit en tant que « littérature ». La re-dite, ici, ne se fonde pas tant dans un ouï-dire qu’elle ne se repaît de ce qu’elle lit, c’est-à-dire récolte. La compréhension moyenne du lecteur ne pourra jamais décider ce qui est puisé et conquis à la source et ce qui est re-dit. Plus encore, la compréhension moyenne ne voudra même pas, n’aura même pas besoin d’une telle décision. puisqu’elle comprend tout.

Etre et des structures d’être en tant que phénomènes doit tout d’abord être conquis sur les objets de la phénoménologie.

Doctrine de l'etre

L’Etre est à la fois être et néant. Le néant, d’une certaine façon, est toujours quelque chose : le verre cassé est la néantisation du verre et en tant que verre-cassé il est quelque chose qui est. De même on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Seulement l’Etre posé comme tel est absolu, universel, totalité. Dès lors pour que l’Etre puisse être déterminé il faut distinguer des déterminations, poser des essences qui nient le devenir ou la néantisation intrinsèque de l’Etre. C’est le moment platonicien.

 

Doctrine de l'essence

Les essences sont des déterminations posées, délibérées par la tension de la pensée vers l’universel. Seulement elles doivent nier la chose en soi, qui elle est diverse et partant indéterminable par l’entendement en tant qu’elle relève de l’Etre-néant, de l’être comme devenir.

Doctrine du concept

 

La logique

 

 

Le concept qui d’abord n’est qu’essence phénoménale mais où (c’est le moment kantien) .

 

Le phénoménal n’est plus une simple apparition. Le phénomène, qui s’inscrit dans un rapport causal, décrit un objet et dès lors une objectivité qui ouvre la voie au syllogisme et par suite au mécanisme (cause efficiente), au chimisme (cause matérielle ) et à la téléologie (cause finale).

 

L’objet est considéré non plus seulement comme une essence, une détermination abstraite, mais comme une détermination qui subit l’influence causale, matérielle et finalisée de son milieu qu’est la nature.

 

Mécanisme, chimisme et téléologie constituent les catégories constitutives du biologique. A partir de ce moment la pensée passe du concept à l’idée : l’idée absolue ou idée de l’absolu : elle pense la détermination générale de toutes les déterminations, elle présuppose le monde mécanique comme finalisé, à l’instar d’un grand organisme vivant.

 

C’est pour cela que le logique pur ne suffit plus, il lui faut étudier la nature comme telle, en connaître ses lois pour véritablement maîtriser l’idée absolue, l’idée d’une identité des différences dans une totalité organique de l’Etre. Pour ce faire le penser décide la nature comme objet propice à son élévation vers la compréhension de l’Etre y compris dans ses déterminations contradictoires qui se manifestent comme devenir.

 

II. La Philosophie de la Nature.

 

L’Etre consiste en une genèse dialectique de l’Esprit Absolu (qui a compris l’Etre en se comprenant lui-même) moyennant une auto-spiritualisation du corps d’abord strictement mécanique (soumis aux forces) qui devenant un corps physique (soumis aux lois de plus en plus complexes de la nature) advient pour l’esprit qui le pense à la pensée de l’organisme qui est le point d’aboutissement de la nature et le dernier moment avant l’Esprit libre, réfléchi.

 

L’organisme vivant est une identité qui comprend plus de déterminations différentes et au départ hétérogènes que tout corps physique. En ce sens il suit un processus d’universalisation, d’identification dans la différence et de différenciation dans et par l’identification de soi en distinction de tout autre.

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